L’étude de langues étrangères

Pour appréhender une langue, rien n’est plus indiqué qu’un bain de langue ! Un séjour à l’étranger assurerait une maîtrise parfaite d’une langue étrangère. Les filières langue étrangère appliquée (LEA) ou langue littérature et civilisation étrangère (LLCE) sont les plus indiqués. En choisissant la LEA vous vous préparez à des métiers en rapport avec l’économie, le droit et le commerce. Quant aux étudiants souhaitant se spécialiser dans les métiers plus en rapport avec les langues comme interprète ou professeur de langue, la LLCE est la plus indiquée. La FLE, par exemple, permet de devenir professeur de langue française à l’étranger.

Les différentes filières se prêtant aux voyages à l’étranger

Plusieurs autres filières également offrent des opportunités intéressantes de partir en dehors du pays comme :
• Le commerce international qui nécessite des opérateurs bilingues sinon trilingues.
• Le politiques qui nécessitent le plus souvent d’effectuer des stages à l’étrantourisme qui donne des opportunités professionnelles requiert une excellente maitrise de plusieurs langues étrangères.
• Les sciences ger.
• Les études d’ingénieures sont adressées aux étudiants ayant une certaine aisance en sciences.
• Les filières artistiques appelant à une ouverture de l’esprit vers d’autres cultures étrangères. À ce propos, des bourses sont proposées par certains pays qui financent les étudiants en arts.
Pour faire votre choix, préférez effectuer des recherches sur le web. Vous aurez ainsi tous les informations dont vous aurez besoin concernant les formations à l’étranger.

La Suisse attire les étudiants français

Le pays, la population, la richesse, le niveau de vie et d’autres facteurs encore semblent favoriser particulièrement la Suisse. Et depuis des années maintenant, les jeunes et surtout les étudiants sont de plus en plus attirés par ce pays. Le fait est que les rémunérations des sortants des universités suisses sont plutôt élevées. C’est certainement la raison pour laquelle beaucoup de nos jeunes migrent en Suisse pour y continuer leurs études. Il faut seulement entre 5 à 10 ans d’expérience après le diplôme pour que la fortune commence à être à portée de main.

La notoriété des universités suisses

L’Université Saint-Gall fait partie des établissements les plus réputés de Suisse. Située dans la ville éponyme, créée en 1898 et en 4e position des business schools européennes, cette université est un des fleurons de la Suisse. Y sont regroupées 5 écoles : 1 école de management, 1 école de droit, 1 école de finance, 1 école de sciences sociales et humanités et enfin 1 école d’économie et sciences politiques. En Suisse, logiquement, l’Université Saint-Gall a une très bonne réputation dans le milieu financier helvète, mais sa célébrité est connue aussi sur le plan mondial.

Des universités fréquentées par des personnalités illustres

Les universités suisses ont formé de nombreuses personnalités ou futures personnalités importantes. Des financiers de tous bords, des PDG et même des têtes couronnées sont venus étudier dans l’Université Saint-Gall par exemple. Rien que ces faits plaident en faveur de cet établissement, s’il fallait en faire la réclame. Elle dépasse de loin certaines des plus grandes écoles de France et d’Angleterre. On peut aisément conclure que les salaires des sortants de cette université sont forcément mirobolants. En effet, ce sont 186 000 euros brut annuel avec bonus que perçoivent ces diplômés ! Tout simplement incroyable mais pourtant vrai ! Et cela, après seulement 5 à 10 ans d’expérience. De quoi attirer sérieusement nos étudiants.

De très bons salaires en étudiant en Suisse

Il y a 4 universités suisses qui se démarquent du lot dont la première est Saint-Gall. C’est clair, le salaire moyen proposé est très élevé pour les diplômés de cet établissement mais celui des 3 autres universités est tout aussi intéressant même s’il est moindre. 163 000 euros pour l’Université de Zürich, 157 000 euros pour l’Institut fédéral de technologie et 148 000 euros annuel brut pour l’Université des Sciences appliquées. On le voit, les diplômés de ces universités peuvent devenir riche rapidement. À la question donc de savoir s’il est intéressant d’étudier en Suisse, la réponse est naturellement oui. Oui sur tous les points car bien que les coûts des études soient chers, ils sont rapidement amortis une fois que le diplômé travaille. Et pourtant, le travail est quasi garanti pour les sortants de ces universités.

Les formations disponibles

Que ce soit pour obtenir des titres professionnels ou des diplômes, ce ne sont pas les formations qui manquent lorsqu’on n’a pas le bac. Les formations pour acquérir des titres professionnels sont en général assez courtes comme le certificat de qualification professionnelle (CQP) ou le certificat de compétence professionnelle (CCP). Le CAP quant à lui est une formation diplômante qui se prépare en deux ans dans les lycées professionnels ou les Centres de Formation d’Apprentis (CFA). Sans avoir de bac, on peut en outre suivre une formation par correspondance ou en cours du soir pour obtenir une capacité en droit.

Les métiers accessibles sans le bac

Le CAP permet d’exercer des métiers nécessitant une certaine compétence technique comme la boulangerie, la mécanique ou la coiffure mais également l’artisanat d’art et la prothèse dentaire. On peut le constater, ce sont des métiers qui permettent de bien vivre sans passer par de longues études à condition de s’y investir pleinement.

La capacité en droit offre certaines opportunités de carrière dans le monde du droit : BTS notariat, DUT carrières juridique, etc.
Les concours administratifs de catégorie C sont par ailleurs ouverts à ceux qui n’ont pas leur bac. Il faut cependant un CAP ou un diplôme national du brevet. Pour autant ces concours ne sont pas faciles à réussir car la majorité des candidats ont un niveau supérieur à celui requis.
Enfin, il existe des métiers qui n’exigent aucun diplôme dans le domaine artistique. Ce qui comptera c’est le talent. Passer par une école d’art s’avèrera alors nécessaire pour perfectionner sa technique ou en acquérir et avoir des références.